Méditation du jour
Ste Hedwige,

veuve - 16 octobre

Les enseignements des Mystères douloureux ”

À une époque de réévaluation de toutes les valeurs

et de réforme de toutes les idées,

on ne veut plus parler de péché.

Tout du moins on ne veut plus laisser passer la vieille vérité chrétienne :

« Le plus grand mal, c’est le péché. »

« Il n’y a pas de péché, dit-on.

« Tout est permis. »

On glorifie le péché sur tous les tons,

comme un droit de l’homme,

une exigence de la nature,

comme quelque chose de naturel

et une preuve d’énergie.

Le Rosaire nous dit :

Pourquoi cet excès de souffrances de Gethsémani au Golgotha,

si une seule goutte de Sang divin suffisait pour nous racheter ?

Pourquoi les divers tourments de la Sueur de sang,

de la Flagellation,

du Couronnement d’épines,

du Portement de la croix…

Et voici la réponse :

à cause de la malice des divers péché.

Chaque goutte crie :

« Voilà la rançon du péché »,

du méchant et amer péché.

Hommes, fuyez le péché !

« Celui qui aime le péché est l’ennemi de son âme. »

Chaque Ave des dizaines douloureuses du Rosaire

vous crie ce que dit un profond mystique :

« Si tous les arbres étaient des écrivains,

« tous leurs rameaux des plumes

« et toutes les collines des livres,

« et si toute l’eau du monde était de l’encre,

« tout cela ne suffirait pas encore

« pour décrire le mal que le péché a causé dans le monde. »


(Chanoine Jean Engel)


Jeudi 1er mai 2025
S. JOSEPH, artisan

confesseur
1re classe

Temps Pascal



Oraison - collecte
Dieu créateur de toutes choses, Vous qui avez imposé aux hommes la loi du travail, faites, dans Votre bonté, qu’à l’exemple de saint Joseph et sous son patronage, nous accomplissions parfaitement l’ouvrage que Vous commandez et parvenions aux récompenses que Vous promettez. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
L’Église autrefois baptisa les fêtes païennes, usant avec une souveraine liberté des dates et des cérémonies pour les doter d’un contenu Chrétien tout nouveau.


S’inspirant de cette tradition, voici qu’elle place la fête civile du travail, le premier mai, sous le puissant patronage de saint Joseph, l’humble artisan que Dieu a choisi pour veiller sur l’enfance du Verbe incarné.


Qui, mieux que lui, en son labeur de chaque jour, rendit grâces à Dieu le Père par le Seigneur Jésus, son apprenti docile et obéissant, Celui que l’on appelait le fils du charpentier ?


Puisse saint Joseph couvrir de sa vigilante protection ce monde du travail dont il partagea le sort austère : puisse-t-il guider et soutenir ses efforts pour faire régner dans le monde la justice et la charité, sous la loi d’amour du Christ Jésus.


 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
N’assister qu’à la vraie Messe. Et, lorsqu’on le peut, chaque jour car : « Une seule Messe procure plus d’honneur à Dieu que toutes les pénitences des Saints ». (S. Alphonse de Liguori)

Méditation du jour
Louange à Marie  suite

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