Qui sommes-nous ?
Un simple prêtre de l’Église catholique

  • Un simple prêtre de l’Église catholique ;

  • orphelin ;

  • à la tête d’une petite Communauté ad experimentum ;

  • quasi-curé d’une quasi-paroisse depuis plus d’un quart de siècle ;

  • devenu récemment quasi-ermite à cause des réductions d’effectifs dues à la crise… (de l’Église) ;

  • fondateur de la revue LES CAHIERS DE CASSICIACUM avec le R.P. Guérard des Lauriers o.p;

  • prieur à demeure aux portes de CANNES dans les Alpes-Maritimes et Messes non una cum tous les dimanches à 9 h 30, et en semaine.

    (Tél. sans répondeur : 04 93 75 19 18).

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UN SIMPLE PRÊTRE DE L’ÉGLISE CATHOLIQUE

Depuis l’heure où la course à la mitre a été lancée (heure difficile à préciser puisqu’il y a eu de nombreuses tentatives et des réalisations dans différents pays et sous des étiquettes ou justifications variées), il est à la fois très difficile et fort facile d’être un simple prêtre.

Difficile, car il y a stimulation par les (mauvais) exemples de ceux des prêtres qui ont cru devoir se laisser entraîner dans « la voie épiscopale » et satisfaire les réclamations-pousse-au-crime de certaines catégories de fidèles, au nom de l’efficace —évêque, cela vous pose—, et surtout ici de l’illusoire : « le bien des âmes des fidèles ». En effet, comment procurer une fin bonne avec des moyens mauvais : des évêques —peut-être valides ?— mais objectivement et certainement pas « d’Église ».

Difficile aussi, car c’est se priver de l’illusion de la continuité, de la survie après soi d’une « œuvre » entreprise. Car bien sûr, si l’« épiscopat sauvage » est irrecevable, ses effets, ses actes, ses œuvres le sont tout autant.

Facile, parce que ce « nouveau type d’épiscopat » n’apportant rien que des inconvénients graves, maux qui viennent s’ajouter au mal de la crise de l’Église, le peu qui, éventuellement, peut être fait « pour le bien des âmes », c’est d’apporter la première des charités : la vérité avec le témoignage aussi authentique que possible de la Foi, sans biaiser, avec des fondements catholiques éprouvés et non trafiqués.

ORPHELIN DANS CETTE CRISE DE L’ÉGLISE

On peut trouver à un orphelin un substitut à son défunt père, mais il ne saurait le remplacer. L’orphelin ne saurait pas davantage se procurer par lui-même un père de remplacement.

Un orphelin ne peut guère que subir un état de fait, il ne peut que vivre (et peut-être même survivre) sans père, tout en respectant évidemment les règles habituelles de la vie en société. Sa situation difficile, pénible, douloureuse, ne saurait justifier de « faire n’importe quoi ».

À LA TÊTE D’UNE PETITE COMMUNAUTÉ ad experimentum

Il s’agit de la Confrérie de la Mère de Dieu avec deux maisons en Provence, l’une près de Cannes, l’autre en Haute-Provence.

QUASI-CURÉ D’UNE QUASI-PAROISSE DEPUIS PLUS D’UN QUART DE SIÈCLE

C’était dans Cannes (chapelle Saint-Cassien) et ses environs depuis le début des années ’80.

DEVENU RÉCEMMENT QUASI-ERMITE À CAUSE DES RÉDUCTIONS D’EFFECTIFS DUES À LA CRISE… (de l’Église)

La perte de la Foi qui se généralise, une situation affreuse qui perdure depuis trop longtemps qui use et, pour beaucoup de ceux qui résistent, l’emploi de moyens mauvais pour défendre une juste cause, découragent jusqu’aux meilleurs.

FONDATEUR DE LA REVUE LES CAHIERS DE CASSICIACUM AVEC LE R.P. GUÉRARD DES LAURIERS, o.p

Cliquez sur l’onglet de la rubrique : Les Cahiers de Cassiciacum.

    • L’Abbé Jacques-Marie SEUILLOT poursuit, tant que le Bon Dieu voudra, son ministère tout près de Cannes (accès facile) au :

      Prieuré La Croix Saint-Joseph

      1110, chemin du Puits du Plan

      06370 MOUANS-SARTOUX

      Tél. : 04 93 75 19 18 (Attention : pas de répondeur, ou sans usage)

      Messe tous les dimanches à 9 h 30

      Et en semaine horaires variables, sauf absences. Se renseigner.

      Par périodes tout au long de l’année, également :

      Prieuré Notre-Dame de La Salette

      04170 MORIEZ

      Tél. : 04 92 89 11 01 (Attention : pas de répondeur, ou sans usage)


  • Lundi 16 juin 2025
    de la Férie
    4e classe
    Temps après la Pentecôte

    S. Jean-François Régis,

    confesseur


    S. Cyr, enfant martyr,

    patron du diocèse de Nevers


    S. Ferréol,

    prêtre et confesseur

    co-fondateur de l’Église de Besançon


    voir Le Martyrologe #90-4




    Oraison - collecte
    Dieu, force de ceux qui espèrent en Vous, prêtez une oreille bienveillante à notre appel, et puisque, sans Vous, la faiblesse de notre nature, vouée à la mort, ne peut rien, accordez-nous le secours de Votre grâce, afin que, dociles à accomplir Vos commandements, nous puissions Vous plaire par notre vouloir et par nos actes. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
    Ainsi soit-il

    Vie du Saint du jour
    Saint Jean-François Régis, naquit le 31 janvier 1597 dans le Languedoc. Entré au noviciat de la Compagnie de Jésus à Toulouse, il continua ses cours à Tournon où il mérita le titre d’Ange du collège.

    Il était né apôtre et n’eut toute sa vie qu’une ambition, celle de sauver des âmes comme le fait ressortir toute sa Messe. Il exerça de longues années son apostolat dans les âpres pays de montagnes du Vivarais, du Velay et du Forez. Il excellait à faire le catéchisme, il passait les matinées entières à l’église, en chaire ou au saint tribunal et les soirées dans les prisons, les hôpitaux et les visites des pauvres.

    Il mourut à 44 ans, le 31 décembre 1640, en disant : « Seigneur, je remets mon esprit entre Vos mains ».


     


    Résolution pratique du jour
    Ayez un cœur de fer pour vous-même, et un cœur tendre pour vos semblables.

    Méditation du jour
    La source de tous les biens est à ma disposition  suite

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