Quand nous récitons notre Rosaire,
soyons-en sûrs,
il ne s’élève pas dans un désert
sans écho :
Dieu a fait de la très sainte Vierge Marie,
mère du Christ,
notre avocate,
notre intermédiaire,
notre médiatrice,
et nous savons maintenant
que pour accomplir sa mission,
que pour exercer ses fonctions,
Il lui a donné
et lui donne encore
la science de nos besoins,
par la vision qu’elle en a
et l’expérience qu’elle en a faite.
Approchons-nous donc avec confiance
de cette Mère de la miséricorde
et nous obtiendrons,
nous aussi,
la miséricorde.
La miséricorde,
c’est Dieu,
c’est Notre-Seigneur,
c’est la durée pour nos joies,
c’est la consolation pour nos peines
et nos épreuves,
c’est tout ce qui peut,
selon la volonté divine,
rendre notre vie plus facile,
plus douce,
plus heureuse,
et notre salut plus certain.