Chrétiens, rentrons en nous-mêmes
et voyons quelle part nous avons prise à la prévarication
malheureusement si générale
qui contriste l’Église ;
demandons à nos mains si elles sont pures de tout travail sacrilège ;
rappelons-nous que le jour du Seigneur
ne doit pas être employé
dans une oisiveté malsaine qui remplace la prière
et les œuvres saintes
par les plaisirs.
Le repos du dimanche est un bienfait ;
profitons-en pour réparer nos forces,
mais aussi pour remplir les devoirs de notre sacerdoce dans la nature,
pour adorer Dieu et chanter Ses louanges,
pour célébrer nos saintes origines,
pour manifester notre fraternité chrétienne
et pour préparer,
dans la fête de chaque semaine,
la fête éternelle qui nous attend.
(R.P. Monsabré, o.p.)