Méditation du jour
Purification de la Bienheureuse
Vierge Marie et

Présentation de l’Enfant Jésus au Temple

La Chandeleur - 2 février

Désir de la Béatitude céleste ”

Ô mon Père,

ouvrez Vos bras,

pour y recevoir le pauvre serviteur qui Vous prie ;

appelez-moi dans Votre Cœur

et élargissez-Le,

afin qu’il y ait place aussi

pour la grande multitude des hommes qui croient dans le Seigneur.

Donnez-moi d’aller rejoindre

ceux qui ont trouvé le repos dans le Royaume de Dieu

avec Abraham, Isaac, Jacob, et tous les invités des Noces éternelles.

Là il n’y aura plus ni nuages,

ni foudres,

ni orages,

ni ténèbres,

ni soir,

ni changement de saisons.

Là ne règnent ni frimas,

ni pluie,

ni grêle,

ni même la pâle clarté du soleil et de la lune :

c’est le Seigneur qui est l’universelle Lumière

illuminant tout homme qui arrive en ce monde.

C’est là que notre Maître Jésus est allé préparer la place de Ses serviteurs,

afin que là où Il est

nous soyons avec Lui,

selon qu’Il disait encore :

« Il y a plus d’une demeure dans la maison de mon Père. »

Et ailleurs :

« Je viendrai vous appeler à Moi

« pour que vous soyez tous avec Moi. »

Seigneur Jésus,

nous voici :

nous venons Vous rejoindre,

attirez-nous,

car nul ne peut monter sans Vous.

C’est Vous qui êtes la Voie.


(Saint Ambroise)


Mercredi 13 novembre 2024
S. Didace,

confesseur
3e classe

Temps après la Pentecôte



Oraison - collecte
Dieu tout-puissant et éternel, qui, par une providence admirable, choisissez ce qu’il y a de plus faible dans le monde pour confondre ce qu’il y a de plus fort ; soyez propice à notre humilité, et accordez-nous, grâce aux pieuses prières de Votre bienheureux Confesseur Didace, d’être élevés dans les Cieux à la gloire éternelle. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
Né en Espagne, vers 1400, saint Didace quitta tout ce qu’il possédait et entra à Arrizafa, chez les frères Mineurs comme frère lai. Il s’y adonna surtout à la contemplation et reçut de Dieu des lumières si vives qu’il parlait des choses du Ciel d’une manière toute divine.


Dans les îles Canaries, son ardent désir du martyre fut en partie satisfait par toutes sortes de tribulations. Revenu à Rome l’année du jubilé, sous le pontificat de Nicolas V, il y soigna les malades au couvent de l’Ara Cœli, et remplit cette charge avec tant de charité que, malgré la disette qui désolait la ville, ceux qui étaient confiés à ses soins ne manquèrent jamais du nécessaire.


La Passion de Jésus était le sujet ordinaire de ses méditations et de ses prières. Sentant sa fin approcher et n’ayant sur lui qu’une vieille robe toute déchirée, les yeux fixés sur la croix, il prononça les paroles de l’hymne sacrée :

« Bois et clous pleins de douceur, vous portez le plus doux des fardeaux ; quelle gloire est la vôtre puisque vous avez été jugés dignes de porter le Roi des Cieux ».


Et il rendit pieusement son âme à Dieu. C’était à Alcala de Henarez, en 1463.


 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
Visitez les malades ; montrez-leur beaucoup de douceur, de bienveillance et de dévouement.

Méditation du jour
Notre vie et l’Éternité  suite

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