Méditation du jour
S. Casimir,

confesseur - 4 mars

Le Sacerdoce catholique

(et donc d’Église) ”

C’est à la lumière du Cœur Eucharistique de Jésus

que nous pouvons mieux comprendre

tout ce qu’il y a de grand

et de beau

dans le mystère du Sacerdoce ;

c’est à cette lumière que nous pouvons mieux comprendre

comment s’impose dans notre société,

pour maintenir

et pour refaire

l’union,

l’unité sans cesse menacée,

cet ordre,

le Sacrement de l’Ordre,

qui insère le divin

dans notre pauvre vie humaine.

Il fallait,

il faut,

il faudra

un Sacerdoce

aussi longtemps qu’il y aura des âmes à incorporer,

à insérer

dans le Christ Jésus,

aussi longtemps qu’il faudra verser la grâce divine

dans nos pauvres cœurs,

dans nos pauvres existences

d’enfants de Dieu,

et c’est là toute la raison d’être,

toute la notion du Sacerdoce

tel que nous le trouvons réalisé dans le Christ Jésus,

le seul Prêtre,

le Prêtre éternel,

Dieu et homme à la fois

parce qu’en Lui le divin et l’humain sont soudés dans l’unité indissoluble d’une seule Personne divine,

unie à la nature humaine.

Le Sacerdoce, le voilà ;

c’est le Christ Jésus prolongé parmi nous ;

et c’est l’acte suprême d’amour du Cœur Eucharistique

qui nous a donné le Sacerdoce,

en même temps que l’Eucharistie,

comme complément de ce mystère,

et qui va en assurer la pérennité.


(R.P. Liévin, c.ss.r.)


Mercredi 21 mai 2025
de la Férie
4e classe
Temps Pascal



Oraison - collecte
Ô Dieu, qui donnez à Vos fidèles de n’avoir plus qu’un seul vouloir, accordez à Vos peuples d’aimer ce que Vous leur commandez, de désirer ce que Vous leur promettez ; afin qu’au milieu des changements de ce monde, nos cœurs demeurent fixés là où sont les joies véritables. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
Saint Hospice, personnage de grand mérite, illustre par ses miracles, vivait au VIe siècle. Il se renferma dans une vieille tour abandonnée, près de Villefranche, à une lieue de Nice, en Provence, pour y pratiquer les exercices de la pénitence loin des vains bruits du monde.

Vêtu d’un rude cilice, il portait sur sa chair nue, de grosses chaînes de fer, un peu de pain et des dattes faisaient sa nourriture, mais, en Carême, il ne prenait que des herbes ou des racines.

 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
Dans les souffrances et les maladies du corps, soyez soumis à Dieu.

Méditation du jour
Une vraie confiance en Dieu suffit pour rendre saint  suite

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