Méditation du jour
- 16 février
Les avantages qui accompagnent

la soumission à la volonté de Dieu ”

La soumission à la volonté de Dieu

nous fait attendre,

comme Marie,

l’avenir sans inquiétude.

Malgré la prophétie de Siméon,

sa tranquillité est parfaite,

parce que sa soumission est entière.

Une âme soumise à Dieu

n’éprouve pas ces troubles,

ces craintes

qui empoisonnent la vie

des mondains,

parce qu’elle sait que l’avenir

est arrêté dans les conseils de la Providence.

La soumission à la volonté de Dieu

nous donne la paix dans le présent.

Rien n’arrive souvent

suivant nos désirs,

mais Dieu ne fait rien au hasard,

et Il est infiniment miséricordieux ;

à chaque jour suffit sa peine,

et Il nous donne Lui-même la grâce nécessaire

pour la supporter.

Elle nous délivre des regrets sur le passé.

Tout passe,

tout disparaît,

tout s’écoule à nos yeux

et nous ne voyons rien nulle part.

Nous ne nous rappelons les événements fâcheux de notre vie

qu’avec des retours amers

qui en empoisonnent le souvenir :

nous nous reprochons d’avoir été la cause de nos infortunes.

Marie voyait Dieu partout.

Elle abandonnait à Dieu le passé

comme elle Lui offrait le présent

et Lui confiait l’avenir.


(Mgr Jules Millot, prélat de sa Sainteté, vicaire général, archidiacre de Versailles en 1932)


Vendredi 15 août 2025
ASSOMPTION de la

Bienheureuse Vierge Marie

En France : fête nationale
1re classe

Temps après la Pentecôte



Oraison - collecte
Dieu éternel et tout-puissant qui avez élevé à la gloire du Ciel, en son corps et en son âme, Marie, la Vierge immaculée, Mère de Votre Fils, faites que, sans cesse tendus vers les choses d’en-Haut, nous méritions d’avoir part à son triomphe. Par le même Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
En cette fête, qui est la plus ancienne et la plus solennelle du Cycle Marial (VIe siècle au moins), l’Église convie tous ses enfants à unir, dans le monde catholique tout entier, leur joie et leur reconnaissance à celles des Anges qui louent le Fils de Dieu parce que Sa Mère est entrée en ce jour, en corps et en âme, dans le Ciel.


Le 11 novembre 1950, Pie XII définissait le dogme de l’Assomption. Il proclamait ainsi solennellement que la croyance selon laquelle la Sainte Vierge Marie, à l’achèvement de sa vie terrestre, fut élevée corps et âme dans la gloire du Ciel, fait réellement partie du dépôt de la Foi, reçu des Apôtres.


« Bénie entre toutes les femmes » en raison de sa maternité divine, la Vierge Immaculée, qui avait eu dès sa conception le privilège d’échapper au péché originel, ne devait pas connaître non plus la corruption du tombeau.


Pour éviter toute donnée incertaine, le Pape s’est abstenu de préciser la manière et les circonstances de temps et de lieu où l’Assomption a dû se faire : seul le fait de l’Assomption de Marie, corps et âme, dans la gloire du Ciel, est l’objet de la définition.


 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
Ayant le sens de l’Église, le Catholique ne doit pas suivre sa volonté propre et encore moins ses sentiments personnels :

« Les uns croient que les autres se trompent de chemin s’ils ne suivent pas le leur. » (Louis de Grenade)


Méditation du jour
L’ancre de l’espérance  suite

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