On demandait un jour à ce grand éducateur de la jeunesse,
Don Bosco,
comment il réussissait à faire de bons
et fidèles chrétiens
avec les misérables
si pervertis
qu’il accueillait dans ses asiles.
Il fit cette réponse significative :
« Je ne connais que deux moyens d’éducation :
« le fouet
« et la sainte Communion. »
Souvenons-nous de cette réponse.
Tous les congrès,
toutes les conférences,
tous les ouvrages
sur la suppression du mal
et de l’immoralité
ne servent de rien,
si nous ne faisons pas place
au divin Éducateur,
le Christ.
Une place dans notre cœur.
Une place dans le cœur de la jeunesse en péril.
Ce n’est pas en vain que le divin Maître nous crie :
« Ayez confiance,
« J’ai triomphé du monde. »
Avec le Christ dans la sainte Communion,
nous triompherons aussi du monde
et du mal
qui est dans le monde.
(R.P. Athanase Bierbaum, o.f.)