C’est à la mort de Jésus-Christ
sur la croix
que nous devons notre salut.
Non pas que les autres souffrances
et actions
de Notre-Seigneur
n’y aient pas contribué
ou soient incapables d’y suffire ;
mais Dieu le voulant ainsi,
et le Fils acceptant cette clause,
la mort de Jésus
fut destinée principalement
à cette tâche de satisfaction,
de mérite,
de sacrifice,
de rédemption,
que d’un seul mot nous appelons le salut.
Les autres souffrances
et opérations du Christ
n’y étaient destinées que par leur connexion
avec le sacrifice sanglant
dans lequel elles devaient trouver leur consommation.
(Cardinal Billot)