À La Une :
au 29 juin 2023

en la fête des SAINTS APÔTRES PIERRE et PAUL

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Timbre-poste, 2e valeur d’une série de deux identiques, émis par le Vatican en 1962 pour le Congrès international d’Archéologie chrétienne à Ravenne ancienne capitale de l’empire romain.
Timbre-poste, 2e valeur d’une série de deux identiques, émis par le Vatican en 1962 pour le Congrès international d’Archéologie chrétienne à Ravenne ancienne capitale de l’empire romain.

Gravure (début Ve siècle) sur la tombe d’un enfant nommé Asellus mort à l’âge de 6 ans, 8 mois et 28 jours comme l’indique l’épitaphe des pieux parents (cimetière de S. Hyppolite à Rome).

À La Une :
au 26 novembre 2010

  • Maledictus XVI :

    Sur le blog « Quicumque » de l’Abbé Hervé BELMONT

    à propos du dernier scandale dévastateur de Benoît XVI.

    Article publié exceptionnellement

    en Supplément au N° 1441 du Bulletin Dominical.



    Voir colonne de gauche, pavé bleu : « Des questions ? Nos réponses à vos questions ».


    Pensez à promener votre souris sur le site et à cliquer lorsque la flèche se transforme en « ? » ou en une main.


  • Rappel : Notre « RSS ».

Cassicia.com
Notre site

Cassicia.com (le site) : Notre site se comporte non comme un livre mais un peu comme une revue : il s’agit de donner des faits, des documents, des éclairages devant servir de socle à la réflexion et d’aliment à notre vie quotidienne.

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Contenu du site

Ce site n’est donc pas comme un livre, en ce sens qu’il ne s’agit pas de donner de façon achevée un raisonnement qui par ailleurs peut l’être.

C’est qu’en effet, nous souhaitons aider à la réflexion personnelle, à partir d’éléments certains, pour raisonner, respirer catholiquement (« sentire cum Ecclesia »), et cela dans la vie de tous les jours.

C’est que nous sommes dans un univers qui bouge très vite et qu’il y a lieu de s’adapter (juxta modum, d’une certaine façon) mais seulement jusqu’à un certain point et pas au-delà, sous peine d’admettre tout et n’importe quoi.

C’est que nous voulons aussi que ce site soit vivant, c’est-à-dire que régulièrement on y trouve de nouvelles indications, des documents ou des nouvelles qui alimentent la progression des connaissances, et de la réflexion sur ces sujets d’actualité que sont la crise de l’Église (catholique), la perte de la Foi, la vie morale dans toutes leurs implications.

Et puis bien sûr, combattre les simplismes, les idées fausses, les postulats aberrants, les doctrines tronquées ou carrément frelatées.

Rubriques du site

Il y a donc un certain nombre de rubriques variées dont plusieurs n’ont encore que le titre : c’est en quelque sorte un sommaire (qui pourra d’ailleurs s’enrichir) qui peut donner une idée de nos préoccupations.

Ces rubriques se rempliront petit à petit, selon nos possibilités, l’actualité ou les questions qui nous seront posées.

Une colossale difficulté à surmonter

Le plus difficile, sous plusieurs rapports, c’est précisément ici la nature même d’un site internet.

Beaucoup de monde certes y accède. Mais justement avec une grande variété de connaissances, de formations, de compétences (ou leurs contraires…). Chacun a de plus en plus tendance à croire tout savoir, ou presque, sans vraie formation préalable, même dans les domaines techniques qui requièrent non seulement un vocabulaire spécifique, mais une formation professionnelle et de l’expérience. C’est vrai pour la mécanique, l’informatique, les sciences naturelles, physiques, chimiques, biologiques et autres, mais aussi, et à plus forte raison, pour la philosophie (la reine des sciences qui leur donne ses principes) et la théologie qui est par excellence la Science, celle de Dieu.

La « démocratisation » qui pousse à l’égalitarisme donne l’illusion à chacun d’être compétent sur tout ce qui l’intéresse. On pourrait dire que chacun se sent empereur pour tout ce qui concerne la politique et la vie matérielle, et pape : chacun se faisant sa propre religion. Toute notion et réalité de « hiérarchie » semble avoir presque disparu.

Aussi, la gageure est-elle de se mettre à la portée d’un chacun, sachant qu’il en faut pour tout le monde, mais à des niveaux vraiment différents.

La Foi catholique est évidemment pour tout baptisé (c’est un don qui est reçu au Baptême). Chacun devant ensuite la développer, la nourrir, la perfectionner puisque c’est aussi une vertu. D’où le rôle fondamental de l’éducation : d’abord au sein la famille, puis avec l’aide de l’École, catholique, au sens large.

Mais la qualité de la Foi est fonction de l’état (et du devoir d’état) d’un chacun : la foi du charbonnier : très bien ! Mais pour le charbonnier ! Celle du centurion, pour le centurion. La foi de l’humble agriculteur n’est pas qualitativement celle de l’ingénieur ou du moine. Parce que l’intelligence a un rôle à jouer et qu’il lui faut un mode d’emploi et une utilisation en proportion de son activité et de son objet. Et puis nous vivons dans le concret d’un monde matériel, mais qui est dominé par le surnaturel qui donne le véritable éclairage à l’ensemble.

Question de vocabulaire

Il y a aussi une vraie question de vocabulaire. Chacun peut s’en rendre compte : il ne suffit pas de parler la même langue pour se comprendre. Les mots changent de sens ou tout au moins glissent dans leurs significations, car les mots ont de surcroît plusieurs sens la plupart du temps.

Si le vocabulaire a pu varier à travers les siècles, il varie maintenant à grande vitesse, non seulement dans le temps, mais géographiquement et, bien sûr, sociologiquement, selon les tranches d’âge et les milieux.

On redécouvre vaguement la nécessité d’un langage commun, suffisamment fixe pour s’assurer de parler de la même chose. On remarquera au passage combien le latin avait et a encore ce rôle, jusque dans la diplomatie et les sciences : avantage d’une langue morte dont le sens des mots s’est enrichi et a acquis une plénitude dans différents domaines, spécialement la philosophie et la théologie (scholastiques).

Il faudra donc se souvenir que le langage parlé, qui est très mouvant, n’est pas le langage des sciences, ni donc des questions de pensées et de religion.

Nous contacter

Nous n’aurons pas de « blogue » ou autre « forum » d’empoigne. Nous voulons de façon déterminée garder la sérénité (autant que les sujets le permettent). Cela ne veut pas dire qu’il faille s’endormir dans la… qu-i-é-tu-de, ce qui serait à l’exact opposé de nos préoccupations de témoignage de la Foi et de survie catholiques, pour la gloire Dieu et le salut de nos âmes.

Mais vous pouvez nous contacter suivant le processus classique des questions envoyées auxquelles nous répondrons à plus ou moins long terme selon la facilité ou la difficulté de la réponse ou la mise en œuvre d’une démonstration.

voir Martyrologe #90-4


Samedi 30 septembre 2023
S. Jérôme,

prêtre, confesseur

et docteur de l’Église
3e classe

Temps après la Pentecôte



Oraison - collecte
Ô Dieu, qui avez ménagé à Votre Église, pour expliquer les saintes Ecritures, un éminent Docteur dans la personne du bienheureux Jérôme, Votre Confesseur, faites, nous Vous en prions, que secondés par ses mérites, nous puissions, Votre grâce aidant, pratiquer ce qu’il a enseigné tout à la fois au moyen de la parole et de l’action. Par Jésus-Christ Votre Fils, Notre Seigneur, qui vit et règne avec Vous dans l’unité du Saint-Esprit, Dieu dans tous les siècles des siècles.
Ainsi soit-il

Vie du Saint du jour
Saint Jérôme naquit à Stridon, en Dalmatie, et reçut le baptême à Rome. Il fut instruit à l’école de savants très distingués. Ordonné prêtre, il se retira dans le monastère fondé par deux grandes dames romaines, sainte Paule et sainte Eustochie, à Bethléem, près de la Crèche où naquit Notre-Seigneur.


Se mortifiant par une abstinence perpétuelle et se livrant à la méditation des Livres Saints, il passait les jours et les nuits à lire et à écrire.

C’est lui qui fixa le texte latin dans la traduction appelée Vulgate et que l’Église a adoptée comme version officielle de la Bible.


Il mourut en 420 et son corps repose à Sainte-Marie-Majeure où se trouvent les reliques de la Crèche.


« Les Apôtres et les Docteurs sont appelés sel, dit saint Jérôme en expliquant l’Évangile, parce que leur doctrine est le condiment de tout le genre humain. “Que si le sel perd sa vertu, avec quoi le salera-t-on ?” Si le Docteur s’égare, par quel autre Docteur sera-t-il redressé ? “Il n’est plus bon à rien qu’à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes”.

« La comparaison est tirée de l’agriculture. En effet, si le sel est nécessaire pour assaisonner les aliments et empêcher les viandes de se corrompre, il n’a point d’autre utilité. Du moins, nous lisons dans les écrits qu’il y eut des villes où la vengeance des vainqueurs fit répandre du sel, afin qu’il ne sortît plus du sol aucune végétation.


« “Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. Et on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais sur un chandelier, afin qu’elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison.” C’est la hardiesse de la prédication que Jésus enseigne : Il veut que Ses Apôtres, au lieu de se cacher par crainte, et de ressembler à une lampe sous un boisseau, se produisent avec entière liberté et prêchent sur les toits ce qu’ils ont ouï dans le secret » (Matines).


Saint Jérôme est l’un des quatre Grands Docteurs de l’Église Latine.


 voir la grande vie du Saint


Résolution pratique du jour
Ayez un grand amour et un grand respect pour la sainte Écriture.

Méditation du jour
L’esprit d’enfance  suite

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